Le sol équestre et les grands froids ne font pas bon ménage. L’arrosage rendu impossible par le gel et la texture du sol que l’on arrive plus à maitriser entre sol gelé, carrière équestre boueuse rendent le travail, le confort et la sécurité des chevaux et des cavaliers plus aléatoire. Le sable est le substrat historique des sols équestres. Jusqu’à présent, personne n’imaginait monter à cheval sur autre chose que du sable ou du gazon. Les sols en sable ont été les seules réponses techniquement acceptables pour la réalisation de sols équestres et la présence de l’eau était inévitable pour d’une part coller la poussière et d’autre part pour assurer le liant nécessaire entre les grains et conférer au sol sa texture.

L’Amortisol offre aujourd’hui une alternative et répond aux problématiques du gel, de la neige et du drainage. En prime, il répond également à celle de la chute ! Mais ça c’est pour toutes les saisons.

sol équestre sans arrosage pour chevaux

? Le Gel, enfer des carrières équestres

Le Gel est le principal problème des écuries en hiver ; entre autres parce qu’il immobilise à la fois les systèmes d’arrosage qu’il faut purger et à la fois les sols lorsque ces derniers sont gelés. L’Amortisol est un revêtement de sol équestre sans sable. Il n’a pas besoin d’eau donc il permet de se passer d’une installation d’arrosage et des contraintes qui l’accompagnent : maintenance et purges en cas de gel.

L’Amortisol est un revêtement drainant qui ne retient pas l’eau. Même en cas de précipitations suivies d’une nuit de gel, le sol demeure souple et tout à fait utilisable dès le lendemain matin. C’est un avantage certain par rapport à ses homologues en sable.

❄ La neige, le blocus de l’hiver

Monter à cheval sous la neige ne s’envisage en général pas sur une carrière traditionnelle car si la neige tient, c’est nécessairement que le sol en dessous est gelé et donc dur, glissant et dangereux. Ce problème ne se pose pas avec l’Amortisol. Comme il ne retient pas l’eau, même par temps très froid et surmonté de quelques centimètres de neige, il est directement utilisable. Le seul facteur limitant sera la ferrure des chevaux qui doit être adaptée, ou alors de ne faire travailler, sur les sols enneigés, que les chevaux non ferrés.

? La boue, certains disent que c’est bon pour la peau

Ce qui est sûr, c’est que personne ne l’apprécie dans la carrière équestre. En hiver, l’évaporation est beaucoup moins importante donc les sols sèchent plus lentement. Les carrières, dont la couche de travail retient l’eau, ne se drainent pas correctement. Elles deviennent donc vite des mares de boue dans lesquelles ni les chevaux ni les cavaliers et encore moins les enseignants n’apprécient de travailler.

L’Amortisol permet de disposer d’une couche de travail insensible à l’eau. Pour cela, il s’installe sur une structure drainante. Il peut également s’installer sur un sol avec une légère pente équipé de tranchées drainantes protégées par des dalles de stabilisation. Cette solution technique représente un coût moins important et reste très efficace. Elle contribue à accélérer la vitesse de passage de l’eau dans la carrière équestre.

? Le froid et les chutes

L’un des principaux moyens dont dispose le cheval pour se réchauffer, consiste à faire fonctionner ses muscles. On entend souvent dire que les chevaux sont plus frais en hiver. Cette propension à devenir beaucoup plus tonique et à partir en sauts de moutons cause davantage de chutes en hiver. Tomber sur un sol gelé se termine souvent à l’hôpital, alors que tomber dans 20 cm de feutre est nettement plus confortable. L’Amortisol contribue ainsi à limiter l’appréhension des cavaliers. Il amortit également la dangerosité des chutes.

Beaucoup d’écoles d’équitation et d’écurie de dressage recherchent des sols souples qui correspondent mieux à leur attente. La sortie du « tout sable » propose une option nouvelle qui mérite vraiment d’être étudiée. Le maintien assuré des cours sur la carrière en hiver, un sol moins traumatisant, un gain de temps et d’investissement en se passant d’une installation d’arrosage et d’une herse donnent autant d’arguments qui méritent d’être étudiés lorsque se pose la question du changement du sol d’une aire d’évolution.

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